Dans une démonstration inspirante de coopération pour une noble cause, le député Don Davis (D-N.C.) s’est tenu aujourd’hui au Capitole, entouré de personnalités notables des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis et de la communauté scientifique, pour discuter d’un sujet qui appelle au changement : remplacer les expérimentations animales et renforcer la transparence publique. Cet événement reflète une mission commune visant à déclarer que le bien-être animal et les avancées scientifiques peuvent coexister sans compromis.

Une vision partagée

Le député Davis, accompagné des députés Nicole Malliotakis (R-N.Y.) et Jen Kiggans (R-Va.), a exprimé leur engagement collectif envers la loi fédérale sur la responsabilité de la recherche animale (H.R. 3295) avec une détermination franche, déclarant : “Nous partageons un objectif commun qui est de protéger les deniers publics et de créer un avenir meilleur pour nos amis à quatre pattes.”

Confluence des esprits

Parmi les orateurs figuraient Nicole Kleinstreuer, PhD, directrice adjointe par intérim du NIH, et Thomas Hartung, MD, PhD, directeur du Centre pour les alternatives aux tests sur les animaux de l’École de santé publique Bloomberg de l’Université Johns Hopkins. Leur expertise souligne l’ambition collective de remplacer les tests sur les animaux par de la recherche axée sur l’humain, ouvrant un chapitre captivant dans la science éthique.

Responsabilité et changement

La loi fédérale sur la responsabilité de la recherche animale, au cœur de ce rassemblement, a été introduite quelques jours seulement après que le NIH a annoncé en avril son intention de se tourner vers des méthodes de recherche plus humaines. Selon Physicians Committee for Responsible Medicine, les installations doivent déclarer annuellement l’utilisation des animaux dans le cadre de cette législation, assurant une transparence qui faisait cruellement défaut dans la responsabilité de la recherche.

Coalition pour la compassion

Le projet de loi reçoit le soutien de plus de 20 organisations, dont le programme de politique en toxicologie de l’Université Johns Hopkins et l’Animal Welfare Institute. Ce soutien amplifie l’appel au changement avec un vibrant sentiment d’unité parmi les diverses parties prenantes, toutes alignées vers une science responsable et une sensibilisation du public.

Conclusion

L’événement d’aujourd’hui au Capitole a marqué une étape vers des pratiques scientifiques éthiques et transparentes. Avec des représentants dévoués comme Don Davis à la tête, la promesse d’un avenir où la recherche respecte à la fois le progrès humain et le bien-être animal devient de plus en plus tangible. C’est une vision chargée d’espoir, partagée par des scientifiques, des législateurs et des défenseurs des droits des animaux, impatients de redéfinir le progrès.